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Participation de Michel à la formation sur les éléments

Paris, 24 et 25 Janvier 2017 Martin Quantin et Étienne Fernex nous accueillent ce matin frisquet là au foyer Adèle Picot, autour d'un café bien venu, une partie des maîtres de stage d'Obernai et de Segré sont là aussi. Grâce à l’ABDVL, j'ai pu y être présent ce jour.

Après une introduction par Étienne sur la définition selon lui de la biodynamie : - une agriculture qui relie le ciel et la terre - qui prend en compte l'organisme agricole - qui a un sens, celui de l'enchantement du monde, et s'y lie, le cours au agriculteurs qui exprime dans ces 8 conférences comment s’interpénètrent les forces cosmiques et celles de la terre.

Après cet exposé rempli du sens de la vie il nous dit comment "toucher" ces réalités : - le sol qui naît du végétal par le courant terrestre - le courant cosmique qui rentre dans le sol, au moment de l’hiver cristallin (jusqu'au 6 février) en "s’appuyant" dans la silice du sol, puis va vers la périphérie de la plante en accompagnant le printemps. Les 2 courants se rencontrent pour former la plante.

Ensuite Martin nous a fait travailler avec beaucoup de tact : Il a construit son exposé, en nous questionnant sur nos manières de voir les 4 éléments et surtout de comprendre, à partir de l’intérieur, la qualité de chaque élément : « Je suis élément eau et je suis....fluide, accueillant, révélant, mouvant, je m'échappe » etc....un joli travail de ressenti…

Pour les animateurs, l’important était qu’au travers de cette formation, nous prenions conscience de la qualité scientifique de nos sentiments, de nos émotions, à partir du moment où nous prenions en compte d’une manière méthodique l’analyse de nos propres émotions, sentiments et ressentiments. Étant tout prés le jardin du Luxembourg, et malgré le froid nous avons pu chacun toucher dans notre intérieur chaque expression de l’élément. Lors de la dernière séance, Victor, un ami d’Étienne nous a fait découvrir, avec la fougue du feu, l'histoire du jardin du Luxembourg et surtout le croisement des différentes influences : j'y est retenu avec beaucoup de mauvaise foi, que Paris ressemble à un oignon avec ces différentes couches de civilisations et que ce jardin c'est construit d'une manière très ordonnée sur ce désordre ...l'ordre aurait donc besoin du désordre...!?

Après nous être réchauffé de sa présence nous nous sommes séparés un peu vite à mon goût, mais chacun avait des horaires à respecter.

Si certains groupes souhaitent développer un peu plus cette approche, je veux bien vous y aider. Michel Augé le 26 janvier 2017

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